LE MARATHON DES LIBERTES - EDITION 2009
A l’ASL, on aime bien les dates qui se retiennent facilement. Pour le cross de février, on avait tapé en plein dans l’esprit romantique en fixant l’épreuve le jour de la Saint Valentin, et cette fois-ci on s’est dit que la fête des mères c’était pas mal pour assurer dans la continuité. Il ne nous reste plus qu’à organiser une manifestation pour la Saint Parfait et tout le monde aura son compte !
Ce marathon des libertés, deuxième du nom, a démontré une fois de plus que l’Ouest a sa place dans la sphère athlétique, avec un parcours varié et une organisation de qualité. Nouveauté cette année, le semi-marathon a démarré en même temps que le marathon, ce qui a été apprécié des participants heureux de partir tôt pour finir tôt et échapper ainsi à la chaleur et à l’augmentation du trafic automobile sur le circuit. Il est vrai que le ciel était nuageux en ce dimanche 7 juin, mais l’atmosphère était tout même relativement lourde à partir de 9 heures comme les marathoniens ont pu s’en rendre compte. Sur les 11 de départ, seuls 9 valeureux coureurs ont su venir à bout des 42,195 km de bitume proposés au menu. Pas évident comme défi, car le nombre peu élevé de concurrents rend l’entreprise très solitaire, et il faut un sacré mental pour se maintenir dans la course. Saluons la victoire du Mananais de l’Anophèle Guy Darly, la discrétion et la modestie même mais toujours fidèlement présent sur nos courses. Après l’abandon de Michel Esline pour cause de défection de genou sans préavis, les couleurs du club sont restées sur les épaules du courageux Patrick Obled qui bouclait là son deuxième marathon, reprenant du même coup pour la saison à venir le titre longtemps tenu par Dominique Richard de « vieux loup de terre du marathon ». Une jolie performance doublée d’une première place dans la catégorie V2 (catégorie où la concurrence faisait rage, comme on peut le constater en analysant la grille des résultats !), il est teigneux, papy ! Du côté des semi-marathoniens, Michelet Trofort a littéralement survolé la course, bouclant le parcours en moins d’1h25. Espérons que ses récents succès donneront envie à d’autres jeunes de venir s’adonner aux joies de l’athlétisme.
Sur les podiums dames, nos coureuses se sont aussi illustrées brillamment. Chloé Depardon et Sandrine Prixaint se sont respectivement octroyé les deuxième et troisième places du podium senior femmes et Jeannette Richard a bien entendu été récompensée chez les V3. Petit clin d’œil au couple Richard d’ailleurs, dont c’était la dernière participation sur le sol Guyanais avant un départ pour Mayotte. Le sourire de Jeannette, le coaching « musclé » de Dom et leur bonne humeur vont bien nous manquer…
Souhaitons également plein de bonnes choses à des bénévoles catégorie « vétérans » tellement ça fait de temps qu’ils nous aident et qui partent sous d’autres cieux, monsieur moto-qui-clignote Serge Faux et son épouse ainsi que Marie-Anne Mayet qui ont largement contribué à l’effort de guerre athlétique de l’Ouest. Comment va-t-on faire sans eux ? Ça devient déjà de plus en plus difficile d’organiser des courses, et encore plus de trouver des bénévoles pour les mener à bien, alors des bénévoles efficaces et impliqués ?!
Comme de juste, la manifestation s’est terminée avec une remise des prix agrémentée d’un goûter comme nous seuls savons les faire et suivie d’un repas sous le marché couvert pour ceux et celles qui souhaitaient partager l’après course un peu plus longtemps.
Patricia LAMAIN
Ce marathon des libertés, deuxième du nom, a démontré une fois de plus que l’Ouest a sa place dans la sphère athlétique, avec un parcours varié et une organisation de qualité. Nouveauté cette année, le semi-marathon a démarré en même temps que le marathon, ce qui a été apprécié des participants heureux de partir tôt pour finir tôt et échapper ainsi à la chaleur et à l’augmentation du trafic automobile sur le circuit. Il est vrai que le ciel était nuageux en ce dimanche 7 juin, mais l’atmosphère était tout même relativement lourde à partir de 9 heures comme les marathoniens ont pu s’en rendre compte. Sur les 11 de départ, seuls 9 valeureux coureurs ont su venir à bout des 42,195 km de bitume proposés au menu. Pas évident comme défi, car le nombre peu élevé de concurrents rend l’entreprise très solitaire, et il faut un sacré mental pour se maintenir dans la course. Saluons la victoire du Mananais de l’Anophèle Guy Darly, la discrétion et la modestie même mais toujours fidèlement présent sur nos courses. Après l’abandon de Michel Esline pour cause de défection de genou sans préavis, les couleurs du club sont restées sur les épaules du courageux Patrick Obled qui bouclait là son deuxième marathon, reprenant du même coup pour la saison à venir le titre longtemps tenu par Dominique Richard de « vieux loup de terre du marathon ». Une jolie performance doublée d’une première place dans la catégorie V2 (catégorie où la concurrence faisait rage, comme on peut le constater en analysant la grille des résultats !), il est teigneux, papy ! Du côté des semi-marathoniens, Michelet Trofort a littéralement survolé la course, bouclant le parcours en moins d’1h25. Espérons que ses récents succès donneront envie à d’autres jeunes de venir s’adonner aux joies de l’athlétisme.
Sur les podiums dames, nos coureuses se sont aussi illustrées brillamment. Chloé Depardon et Sandrine Prixaint se sont respectivement octroyé les deuxième et troisième places du podium senior femmes et Jeannette Richard a bien entendu été récompensée chez les V3. Petit clin d’œil au couple Richard d’ailleurs, dont c’était la dernière participation sur le sol Guyanais avant un départ pour Mayotte. Le sourire de Jeannette, le coaching « musclé » de Dom et leur bonne humeur vont bien nous manquer…
Souhaitons également plein de bonnes choses à des bénévoles catégorie « vétérans » tellement ça fait de temps qu’ils nous aident et qui partent sous d’autres cieux, monsieur moto-qui-clignote Serge Faux et son épouse ainsi que Marie-Anne Mayet qui ont largement contribué à l’effort de guerre athlétique de l’Ouest. Comment va-t-on faire sans eux ? Ça devient déjà de plus en plus difficile d’organiser des courses, et encore plus de trouver des bénévoles pour les mener à bien, alors des bénévoles efficaces et impliqués ?!
Comme de juste, la manifestation s’est terminée avec une remise des prix agrémentée d’un goûter comme nous seuls savons les faire et suivie d’un repas sous le marché couvert pour ceux et celles qui souhaitaient partager l’après course un peu plus longtemps.
Patricia LAMAIN